Les communes, gestionnaires d’espaces verts et prestataires le constatent : la question n’est plus “faut-il désherber ?” mais “comment le faire sans nuire à l’environnement ?”
Pendant des années, le désherbage chimique (herbicides à base de glyphosate ou autres molécules) a été la solution principale. Aujourd’hui, la réglementation se durcit et les attentes des citoyens évoluent. Les solutions de désherbage thermique, comme la technologie à air chaud pulsé Ripagreen, offrent une alternative crédible.
Comparons leurs impacts sur l’environnement.
Les herbicides se déposent sur les surfaces, s’infiltrent dans les sols et peuvent être entraînés par la pluie vers les fossés, rivières ou nappes phréatiques. Même appliqués “dans les règles”, ils laissent des résidus parfois détectables longtemps après.
Le désherbage thermique à air chaud pulsé fonctionne autrement : aucune goutte de produit, uniquement un choc thermique qui fait éclater les cellules de la plante et stoppe sa croissance. La chaleur agit là où l’on passe, sans laisser de trace ni de substance dans le sol ou l’eau.
Concrètement, le risque de pollution diffuse est fortement réduit, ce qui est un point clé pour les communes soucieuses de la qualité de leurs ressources en eau.
Un herbicide ne fait pas la différence entre une “mauvaise herbe” et une plante parfois utile au sol ou à la biodiversité. Il peut aussi affecter certains insectes et micro-organismes. Répété dans le temps, cela contribue à appauvrir la vie du sol et les écosystèmes alentour.
La solution thermique, elle, agit de manière beaucoup plus localisée : seules les plantes exposées au flux d’air chaud sont touchées. Utilisé dans une logique de gestion différenciée (on traite uniquement les zones sensibles : trottoirs, pieds de murs, abords de bâtiments, cimetières…), il permet de garder des zones refuges pour la flore et la faune tout en maîtrisant l’apparence des espaces publics.
On pourrait penser que “brûler du gaz” est forcément plus mauvais pour le climat. Mais il faut regarder le cycle complet :
• fabrication et formulation des herbicides,
• conditionnement, transport, stockage,
• gestion des bidons vides et déchets dangereux.
Le désherbage thermique Ripagreen utilise du gaz comme source d’énergie, mais la majeure partie du travail est réalisée par l’air ambiant chauffé : environ 94 % d’air pour 6 % de gaz. La consommation est optimisée et il n’y a ni bidon, ni emballage de produits chimiques à gérer.
Selon les contextes, le bilan carbone global peut être comparable ou meilleur, tout en éliminant les impacts liés à la chimie de synthèse et aux résidus dans l’environnement.
Qui plus est, la solution de désherbage thermique Ripagreen fonctionne aussi au biogaz, ce qui diminue davantage son impact environnemental.
Les risques liés à l’exposition aux herbicides sont de plus en plus questionnés : applicateurs, riverains, enfants, animaux… D’où le durcissement de la réglementation et l’augmentation des zones interdites aux produits chimiques.
La solution thermique, elle, ne génère pas de brouillard de pulvérisation ni de résidu toxique. Les opérateurs ne manipulent pas de produits classés dangereux et les riverains acceptent beaucoup mieux cette méthode. Couplé à une bonne communication (“Ville zéro pesticide”, “Entretien sans herbicides”), c’est un vrai levier d’image pour la collectivité.
• Application rapide au départ
• Résidus dans les sols et l’eau
• Impact sur la biodiversité
• Risques pour la santé
• Réglementation de plus en plus stricte
• Zéro pesticide
• Pas de pollution des sols ni des nappes
• Impact limité et maîtrisable sur la biodiversité
• Résultats durables
• Solution durable compatible avec les politiques “zéro phyto”
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